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Par 8 février 2023

Face à l’inflation, riposte des précaires !

RDV à 17h45, le jeudi 9 février à Place St-François pour manifester dans les rues de Lausanne

Nous luttons pour la pleine et entière indexation de nos salaires à 5%

Aujourd’hui, en Suisse, l’inflation se monte, comparativement à octobre 2021, à 3%. Il s’agit donc de 3% que nous perdons sur nos revenus. Par ailleurs, l’indice des prix à la consommation ne prend pas en compte la hausse continue des loyers, des primes d’assurance maladie, du prix de l’énergie et des transports mais, en plus, nos salaires réels sont en baisse depuis décembre 2020. Il faudrait donc une indexation de 5% pour que nos salaires réels, souvent déjà insuffisants, rattrapent la hausse des prix.

Il est important de rappeler qu’à chaque augmentation des prix (inflation) sans augmentation salariale, nos conditions d’existence se dégradent et cette situation nous amène chaque jour davantage dans la précarité et la pauvreté. Ce n’est pas une fatalité mais le produit d’une orientation politique menée pour les intérêts des patrons et des plus riches.

Par exemple, en 2019, le Conseil d’État a baissé les impôts des entreprises à la suite de sa contre-réforme intitulée RIE3, voulue et préparée pour le patronat. Nos élu·e·x·s pourraient très bien engager des réformes pour l’augmentation des salaires du public, des bourses et autres prestations sociales en modifiant les budgets prévus.  Le Conseil d’État vaudois se moque de nous ! Nous ne voulons pas de leurs “pitiés” ou “aumônes” d’indexation à 1.4% alors que l’État de Vaud est assis sur une fortune de plus de 5 milliards de francs !

5% pour toutes les personnes en formation !

En tant que personnes en formation et autres précaires, nous avons différents visages. Boursier·ère·x·s, bénéficiaires des indemnités de l’AI ou du revenu d’insertion, apprenti·e·x·s ou stagiaires, nos sources de revenus sont multiples. Différents types de salaire nous permettent en théorie de poursuivre nos formations mais nous travaillons aussi à côté de nos études pour subvenir à nos besoins fondamentaux. Salaires dans le secteur public ou dans le privé ainsi que dans le secteur subventionné devraient nous garantir des conditions d’existence décentes afin d’accomplir nos formations.

Face à l’inflation actuelle, la réponse du Conseil d’Etat vaudois est largement insuffisante. Maigre indexation des salaires dans la fonction publique à hauteur de 1,4% et revalorisation de 2,5% des régimes sociaux ne suffisent largement pas à combler la perte de valeur de nos revenus. Uni·e·x·s avec les travailleurs et travailleuses de la fonction publique et parapublique dans une lutte pour l’obtention d’une indexation salariale à 5%, nous sommes déterminé·e·x·s à exiger davantage du Conseil d’Etat. Quel mépris !

Avant même l’inflation, nos revenus étaient insuffisants. Depuis de nombreuses années, nous montrons que tous ces types de revenus doivent être revus à la hausse afin que nous, personnes en formation, puissions tous et toutes travailler, étudier et vivre dans des conditions dignes. En plus de défendre la valeur effective de nos salaires en lien avec la hausse du coût de la vie, nous devons relancer l’offensive sur l’augmentation des montants de toutes les prestations sociales et de manière générale de toutes nos sources de revenus, y compris les salaires au sens strict. Ici et maintenant, élargissons les conditions d’octroi des bourses et des autres prestations sociales. Nous revendiquons également l’automaticité des prestations pour que tous les ayants droits y aient accès dans les faits.

Ensemble, élargissons la lutte sur l’indexation des salaires à tous nos types de revenus ! Il nous faut construire la perspective d’un salaire socialisé pour que chacun et chacune puisse être libre et autonome, avec la garantie d’avoir des conditions d’existence convenables. Défendons les possibles et menons le combat collectivement sur nos lieux de travail et de formations ! Pour l’augmentation de nos sources de revenus, pour un salaire étudiant, pour un salaire socialisé, soyons uni·e·x·s, solidaires et combatives !

5 pour-cent, pour les étudiants !
Pour l’indexation, ensemble nous nous battrons !

Pour l’extension et l’amélioration du service public

Voilà un moment qu’on s’active chez les précaires et qu’on essaie de mettre du beurre (ou de la margarine) dans nos foutus épinards. Depuis septembre dernier, sur le campus de l’université de Lausanne, on lutte pour avoir des repas de qualité à prix réduit. Faut dire qu’On a les crocs mais, aujourd’hui, on a aussi soif à force de gueuler dans la rue pour l’indexation intégrale de toutes nos sources de revenus ! Pour nous, ces deux revendications sont intrinsèquement liées. D’un côté, il faut indexer mais aussi augmenter nos salaires et prestations sociales car nos revenus sont insuffisants. De l’autre, il faut améliorer et étendre les champs d’action du service public afin de fournir des aides inconditionnelles au plus grand nombre, sans tri et flicage bureaucratique entre précaires légitimes et illégitimes à les recevoir.

Dans le contexte inflationniste qui est le nôtre, mais aussi dans la perspective d’un futur instable du fait des bouleversements climatiques et environnementaux, il faut dès maintenant subventionner massivement les biens et services indispensables. Ce n’est pas aux précaires, étudiantes, apprenties, chômeuses, bénéficiaires de l’aide sociale, retraitées, etc. de payer le coût des crises du système capitaliste à l’agonie. En résumé, nous voulons des repas abordables sur nos lieux de formation, des logements subventionnés, des transports publics gratuits et un système de santé simplifié et plus égalitaire. Manger, avoir un logement, se déplacer et se soigner, ce ne sont pas des choix, ce sont des droits !

Bouffe, transport, logement !  On veut vivre dignement

Public, privé : même combat !

En tant que travailleur·euse·x·s en formation, nous sommes obligatoirement solidaires avec les salarié·e·x·s du secteur privé car nous sommes souvent nous-mêmes employé ou formé dans le privé. En effet, en tant que stagiaires ou apprenti·e·x·s, nous nous formons majoritairement dans des entreprises privées. Nous sommes également nombreux et nombreuses, de par nos conditions de vie précaires, à avoir des jobs d’étudiants et à être employés dans le privé afin de boucler les fins de mois. Nos salaires ne dépendent donc pas uniquement des budgets du Conseil d’Etat mais également de la libre volonté de nos patrons dans le privé.

Actuellement, les syndicats et les travailleurs et travailleuses du public se mobilisent pour l’indexation des salaires mais n’oublions pas le privé ! Nos moyens d’actions dans nombre de secteurs professionnels du privé sont limités : peu ou pas d’organisations syndicales, CCT à l’avantage des patrons voire inexistantes, contrats en CDD et conditions de travail précaires, jobs non-qualifiés, ce qui nous rend absolument remplaçable, etc. Mais nous pouvons tout de même agir ! D’abord en essayant de nous organiser sur nos lieux de travail mais aussi dans les écoles professionnelles en montant des groupes de solidarité affiliés ou non à un syndicat. Nous pouvons aussi alerter l’opinion publique et mettre la pression sur nos représentants politiques afin que la législation s’améliore. Enfin, il nous faut s’entraider et résister partout où nous le pouvons, par exemple en partageant les un·e·x·s avec les autres sur montant de nos salaires ou grattant ce qu’on peut sur nos lieux de travail et de formation (pourboire, nourritures, fournitures, noter ses heures sans les faire etc.).

Le chantage à l’emploi nous oblige à travailler, dans le public ou dans le privé, nos conditions se dégradent, il faut s’organiser !

Public, privé, salariat ! 2 patrons, 1 combat !

RDV à 17h45, le jeudi 9 février à Place St-François pour manifester dans les rues de Lausanne !

Après la manifestation, tout le monde est bienvenu dans nos locaux à la Maison du peuple pour une assemblée ! Venez et faites venir.

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